Nikolaï Ottus
- 35 ans
- Célibataire
- Commodore de l'Enoch
- Sagittaire
- Tous ce qui est à base de Chocolat
- Son Uniforme
Hobbies
Nikolaï est véritablement le stéréotype du militaire, il passe son temps à entraîner son corps et son mental. Il apprécie aussi savourer une bonne bière ou toutes boissons plus alcoolisées dans un bar.
Il ne l'avouera jamais, mais acheter diverses pâtisseries au chocolat et les savourer, pour savoir laquelle est la meilleur est un de ses passe-temps favoris.
Signes particuliers
Ce cher Commodore est un maniaque du rangement et de la propreté, il est une vraie fée du logis. Cependant, il aime tellement l'ordre et le rangement que dans ses débuts et dans son premier régiment, il était surnommé le Démon du Logis. Tous cela à cause de son côté maniaque.
Description
Physique : Nikolaï est un trentenaire dans la fleur de l’âge et possédant un physique pouvant rendre jaloux certains athlètes. Il n’est pas des plus impressionnant par sa taille, étant dans la moyenne des Hominas. Cependant lorsque l’on regarde sa musculature, il n’est pas difficile de comprendre que le Commodore s'est entraîné d’arrache pied pour obtenir ça et surtout qu’il continue de s’entretenir pour ne pas perdre le fruit de son travail.
Il ne faut pas penser qu’il est développé son corps comme certains culturiste, il est encore loin de ça, il n’a pas cherché à simplement développer son muscle pour le rendre imposant. Il a cherché l’équilibre entre force et vitesse, un soldat n’est pas efficace s’il est juste puissant, il doit être polyvalent, c’est simplement ce qu’il a choisi de faire.
Son visage est assez carré et déjà légèrement marqué par l’âge et la guerre, cela ne l’empêche par de garder un certain charme d’après certains membres de l’équipage. Il entretient aussi son visage, pensant qu’un militaire doit aussi faire attention à son apparence. Il fait toujours en sorte d’être rasé de près, il avait essayé de se laisser pousser la moustache pendant une période, mais devant les visages choqués de ses camarades, il décidé de maintenir son visage imberbe.
Ses pupilles sont d’un marron profond et foncé pouvant faire penser que ses iris sont d’un noir de jais, pour ce qui est de sa chevelure, il la laisse assez longue. Il coiffe ses cheveux pour former cette masse épaisse, il ne fait pas forcément cela par envie, il possède un nombre incalculable d’épis, c’est la seule façon qu’il est trouvé pour que sa chevelure donne l’impression d’être coiffée.
Pour se qui est de sa tenue, il est constamment en uniforme, la seule chose qui peut changer, c’est qu’en dehors de son service, il ne porte par les pièces d’armure composant ses vêtements. La pièce principale de son équipement est un juste au corps vraiment moulant, il a choisi une teinte de bleu pour cette tenue, c’était un moyen pour lui de se démarquer sur le champ de bataille, depuis il a gardé cette habitude. Il en porte deux versions, une à manche longue et l’autre à manche courte.
Avec ceci, il porte une paire de bottes blanche dans une matière assez souple pour faciliter le confort et pour se préparer plus rapidement. Il accompagne cela d’une paire de gants de la même matière et dans la même teinte de blanc. Lorsqu’il est en mission ou pour le travail, il enfile un plastron blanc et doré étant à la fois résistant et très souple. Il transporte aussi souvent un accessoire avec ça, il s’agit de son arme, une espèce de sabre laser.
Mental : Ce cher Commodore est le grincheux par excellence, en plus de reprendre tous les stéréotypes d’un militaire, il faut donc savoir qu’il n’est pas facile de le supporter aussi bien dans le travail que dans la vie privée. Vous ne verrez jamais Nikolaï sourire, si cela vous arrive, c’est que soit vous faîtes un joli rêve ou que le monsieur est touché-coulé par l’alcool.
Il est le genre d’Hominas qui râle et devient insupportable pour la moindre petite chose qui ne rentre pas dans ce qu’il a défini. Ajouter à cela qu’il est souvent tendu par son travail et les nouvelles responsabilités qu’il détient. C’est une personne terriblement autoritaire, lorsqu’il ouvre la bouche pendant son service, c’est pour donner des ordres tous cela en hurlant comme s’il voulait que tout le vaisseau soit au courant de ses directives.
Vous voulez savoir une chose encore plus amusante ? Qui empire son joli petit caractère ? Nikolaï est un maniaque sur tous les points, tous doit être en ordre, rangé d’une certaine façon, comme il aime le dire « Si une chose est à cette place, ce n’est pas pour la mettre ailleurs ». Oh si cela n’était que sur le ménage, ça irait, mais le pire, il est aussi maniaque sur l’apparence, il reprend chaque personne ayant une tenue débraillée en quelque sorte ou se laissant légèrement aller. Parce que pour ce cher Monsieur, la virilité est une chose importante, c’est ce qui différencie les Hominas des Feminas, agir dans ce sens contraire, serait être d’une certaine façon à la même échelle que ces dernières.
Alors, je vous arrête tout de suite, il ne méprise pas les Feminas, mais il se sent fortement mal à l’aise en leurs présences, sans doute dû à son éducation très militaire. On pourrait aussi ajouter à cela, une légère rancune due à la guerre, même si celle-ci est plutôt minime en soit. Pour rebondir sur son éducation, Nikolaï est plutôt vieille école, il est presque du genre coincé dans certaines situations. Il est bien du genre à être choqué pour un rien ou être écœuré par un étalage de bons sentiments.
Rassurez-vous, il possède des qualités. OUI, vous avez bien entendu, il y a des points positifs chez lui… Pas beaucoup certes, mais c’est déjà ça, il ne faut pas demander la Lune non plus. Le Commodore est le symbole de la Justice mélangé avec la Droiture et une bonne dose d’Honnêteté, il peut être du genre franc, mais sans filtre, ce qui peut donner certaines situations cocasses, si vous saviez.
Avec cela, il peut être assez dur de penser que Nikolaï s’en sorte niveau relationnel… Bah, vous avez raison, la communication n’est pas vraiment son fort, pourtant ce n’est pas faut d’avoir une certaine assurance et un charisme approuvé par tous les membres de l’équipage, le dialogue passe mieux avec certains collègues de travail comme Malik. Si, il y a peut-être bien une personne avec qui la communication passe avec une grande facilité, il s’agit de son amie… Oui, vous avez bien lu, sa seule et unique amie.
Il s’agit de Eris, l’ambassadrice des Feminas, c’est une chose assez paradoxale, mais il entretient une forte amitié, voir même plutôt une Bromance, avec cet énigmatique personnage. Nikolaï va en elle beaucoup de qualités Hominas et son caractère excentrique à aussi joué là-dessus. Il cache un peu cette relation amicale, il craint que cela soit mal vu, voir même que l’étiquette de traite soit collée sur son front.
Niveau amoureux, notre Commodore est un célibataire plus qu’endurci, il n’est pas du genre à se lancer dans les sentiments à l’eau de rose, il est trop dévoué à sa nation pour se permettre ce genre de chose. Peut-être qu’un jour cela changera, mais pour l’instant, il reste fixé sur ses idées.
Histoire
La vie de Nikolaï n’est pas digne d’un roman, loin de là, elle ne possède aucune fantaisie, toute sa vie a été calculée soit par ses pères ou par lui-même. Son existence n’est qu’un enchaînement de chose logique lorsqu’il parle de son histoire. Celle-ci est donc monotone, parsemé de temps en temps d’un peu d’action due à la guerre fraichement terminée.
Tout commença, il y a 35 ans, notre futur Commodore naquît de l’union d’un militaire et d’un infirmier, ce fut donc très jeune qu’il fût mêlé au milieu de la guerre. Son père militaire occupant une place importante dans l’armée et son autre géniteur s’occupant de soutenir les soldats par son métier, le jeune garçon était toujours avec eux, trainant continuellement avec les autres militaires, il prit rapidement le rythme sur ce mode de vie. Ajoutons à cela une éducation très militaire de la part de ses deux parents, il fut élevé à la dure, pas de bons sentiments, pas de pleur, il devait être fort et coriace dès son plus jeune âge comme le militaire qu’était son père.
Son éducation fut sa première épreuve, un esprit dans un corps saint, tel était la devise de ses géniteurs, il était donc normal de commencer par remplir cette petite tête encore vide et l’entraîner maintenant serait idiot, cela pourrait faire plus de mal que de bien. Ses études furent légèrement plus rigoureuses, en plus de suivre le cursus normal, ses deux pères lui donnaient des sortes de cours particulier, sur la vie militaire ainsi que sa discipline, c’est un poids moral pour le jeune enfant. Pourtant, il supportait ça, il suivait la route que ses parents lui avaient tracée.
Ce train de vie continua jusqu’à la fin du cycle scolaire, à ses 14 ans, il passa devant plusieurs entités sensées pouvoir déterminer son parcours, comme prévu, ce fut le choix d’une carrière militaire qui ressortait à chaque fois. Ses parents étaient fiers, c’était peut-être la seule fois où il vu son père sourire.
Pendant 4 ans, il suivit un long entrainement pour rentrer à ses 18 ans dans un régiment en commençant comme tout le monde, au plus bas de l’échelle. Pendant cette période d’entraînement, il suivit une nouvelle fois le cursus classique, mais son père militaire lui donnait derrière une formation martiale, regrettant que cela ne soit pas fait dans l’école militaire, il alla jusqu’à dire que c’était la seule chose de bien que savait faire les Feminas. Voilà enfin Nikolaï promu à sa nouvelle fonction de soldat, sa carrière ne faisait que commencer.
Les années s’écoulèrent, il avait maintenant 25 ans, il avait grimpé doucement les échelons, il occupait maintenant le poste de Lieutenant, il avait réussi à monter uniquement grâce à ses efforts. Pourtant, cette année-là, une chose arriva à lui et sa petite famille, ses deux parents moururent lors d’un affrontement, c’était une chose classique, mais ce fut bien la seule fois où il s’autorisa à verser une larme. Cependant, la vie continuait son cours et le temps n’allait pas s’arrêter pour lui.
Il reprit alors son poste avec plus de conviction et d’entrain ne voulant pas en quelques sortes déshonorer la mémoire de ses pères. Le temps s’écoula encore, la guerre durait, les soldats tombaient dans les deux camps, Nikolaï ne semblait pas voir le bout de cet affrontement, aucun des deux camps n’arrivait à prendre le dessus, c’était un statut quo des plus énervants.
Voilà finalement notre fier gaillard arrivant à ses 30 ans, il avait tellement bien fait ses preuves et montrait un certain charisme tout en inspirant le respect aux membres du vaisseau qu’il finit par monter au poste de Commodore. C’était une responsabilité, mais il saurait s’en montrer digne et fier.
Ce fut donc 1 année de plus à son compteur, ses 31 ans marquèrent enfin la fin de cette guerre, un traité de paix eu lieu, l’équilibre de se cesser le feu était encore bancale, mais c’était sa mission et celle des membres de l’Enoch de faire en sorte que cela dure pour les futures générations. C’est dans ses nouvelles missions qu’il fit la rencontre de sa seule amie, l’ambassadrice des Feminas : Eris Rosenthal.
La paix fut maintenant pendant 4 ans et elle restait encore debout, même si son caractère bancal était encore d’actualité, tous semblaient aller pour le mieux. Nikolaï n’avait pas changé, toujours aussi gueulard, de mauvaise humeur et travaillant comme un acharné, cela n’était pas prêt de changer… Voilà comment notre cher Commodore est devenu ce qu’il est.
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